Le club journal à Réunion la 1ère !

 

Le club journal a eu la chance de visiter les locaux de Réunion la 1ère et de rencontrer une partie des équipes pour observer le travail des journalistes et des équipes techniques.

Nous avons été accueillis par Mme Elisa Chan FOOK qui nous a expliqué les deux pôles de Réunion la 1ère: la radio et la télévision.

Nous avons ensuite rencontré Monsieur route … qui nous a expliqué les avantages et les inconvénients du métier qu’il exerce depuis 30 ans.

Puis nous sommes montés visiter les locaux de la radio, où nous avons pu voir les studios , parler dans les micros et cela était très amusant.

Nous avons parlé du son et des différentes techniques  avec un ingénieur du son.

Nous avons visité la rédaction et pu discuter avec des journalistes reporters d’image , qui nous ont expliqué leur métier.

Nous sommes ensuite descendus et avons visité la salle de montage. Tous les écrans nous ont impressionnés. Différentes  émissions apparaissaient sur ces écrans.

Ensuite nous avons visité le studio de maquillage et sommes rentrés dans le studio du journal télévisé et avons entraperçu le journaliste Pascal Souprayen happé par les nouvelles de la matinée et qui courait partout.

Nous avons eu la chance d’assister à l’enregistrement de la météo avec Grégoire Manes .  Certains d’entre nous ont pu essayer le fond vert avec la carte de la Réunion et ce n’est pas évident !

 Ce fut une matinée extrêmement riche.

 

 

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Réaliser une interview

Les types d’interview possibles :

  • Expertise : un spécialiste explique un phénomène, une situation, etc. Sa parole a une valeur scientifique.
  • Témoignage : l’interviewé raconte sa version de ce qui s’est passé.
  • Opinion : la personne interrogée donne un avis, elle n’est pas spécialiste.
  • Réaction : la personne interrogée livre à chaud et brièvement sa réaction à un événement.
  • Portrait : l’interviewé livre sa personnalité, son parcours.

Préparer l’interview :

La préparation de l’interview est capitale. Le fait de s’être documenté sur le thème traité et la personne interviewée permet de poser des questions pertinentes.

Les différentes étapes :

  1. Définir l’interview : déterminez le type d’interview, le support sur lequel vous présenterez le compte-rendu de l’interview (article de journal, film, …), et les modalités d’enregistrement selon votre sujet et votre problématique.

2. Demander une interview :

  • contacter la personne et se présenter, par e-mail, courrier ou téléphone.
  • indiquer le sujet que vous voulez aborder.
  • fixer la date, l’heure, le lieu et la durée du rendez-vous.
  • demander l’autorisation d’enregistrer l’entretien en signalant que l’enregistrement sert à ne pas déformer les propos de l’interviewé.

3. Rechercher des informations :

  • sur le sujet de l’interview (articles déjà parus, livres, rapports, autres interviews).
  • sur la personne interviewée.

S’il s’agit d’une interview concernant la fonction de la personne on pourra recourir à une encyclopédie, à des sites spécialisés sur Internet.

S’il s’agit d’une interview concernant l’œuvre de la personne on pourra recourir à des documents d’actualité : presse, presse en ligne …

S’il s’agit d’une interview concernant l’action spécifique d’une personne on pourra recourir à des sites d’actualité, des sites spécialisés, éventuellement à des moteurs de recherche.

4. Préparer les questions :

Questions ouvertes ou fermées

  • Les questions fermées appellent une réponse factuelle telle qu’une date, un nom ou encore une simple affirmation ou négation. Ex. : Avez-vous suivi tel évènement ?

  • Les questions ouvertes sont larges et n’indiquent qu’un thème : l’interviewé peut répondre comme il veut. Ces questions sont plus difficiles à exploiter. Ex. : Que pensez-vous de tel évènement?

Questions primaires et secondaires

  • Les questions primaires sont celles que le journaliste pose en premier. Elles permettent de définir le thème traité et d’enchaîner avec de nouveaux thèmes.

  • Les questions secondaires ou spontanées servent à approfondir les réponses données par l’interviewé. Il est donc important de bien l’écouter afin de ne pas manquer un aspect important. Ces questions servent notamment à :

– demander des explications supplémentaires,

– aider l’interlocuteur qui aurait du mal à répondre, en posant des questions plus simples, notamment des questions fermées.

– établir des liens entre différents passages de l’entretien.

Préparer le matériel : magnétophone, caméra, appareil photo, carnet…

Mener l’interview :

Une liste de questions doit être préparée avant l’interview mais il est important de pouvoir s’en détacher.

Interview non enregistrée :

Vous ne pourrez compter que sur votre mémoire et vos notes pour exploiter l’interview.

Il est donc important de vite écrire les éléments importants. Pour cela, il est préférable d’utiliser des abréviations . Si vous n’avez pas compris quelque chose, il vaut mieux interrompre la personne que risquer de noter des choses fausses. Demandez d’épeler les noms propres ou les mots difficiles.

Reprenez vos notes dès que possible après l’interview pour ne rien oublier d’important.

Interview enregistrée :

L’enregistrement de l’interview permet de sélectionner les éléments les plus importants en note.

Ce procédé permet de se concentrer sur les réponses et de réfléchir en même temps à la tournure et à la suite de l’entretien.

 

Dans les deux cas :

Commencez par faire préciser le nom, le prénom, l’âge, et les fonctions de l’interviewé.

Attaquez par une question générale, large, puis amenez l’interviewé à être de plus en plus précis sur un point que vous souhaitez développer.

L’obtention de faits, de chiffres ou encore d’impressions constitue le fondement du travail journalistique. Encourager la personne interrogée à donner des exemples.

À la fin de l’interview, après avoir remercié la personne que vous avez interviewée, vous pouvez lui demander s’il est possible de la recontacter ultérieurement pour préciser des faits ou répondre à une ou deux questions supplémentaires par téléphone ou e-mail.

 

Presse et engagement

Les 4ème Belouve engagés dans l’EPI «presse et engagement»

 

«”Avec Madame Pariente, au CDI on a appris à décrire des articles, à différencier les articles de sport, économique… »(Maël)

«Nous avons étudié plusieurs journaux et articles: on a regardé le journal puis pris des notes et on parlait pendant 5 minutes au moins devant tout le monde» (Shaïna et Noé)

«Il y a une première page, la Une où se trouvent le titre du journal et les titres, les textes.Ensuite il y a le sommaire puis les articles» (Gabriel)

Avec Mme Bominthe , nous avons travaillé sur les dessins de presse:

«le dessin de presse est un travail de journaliste qui apporte une information accompagnée d’un regard critique, d’une opinion. C’est humoristique ou ça peut choquer!» (Gabriel)

 

Les villas créoles de Saint-Pierre

C’est en 1665 que l’île Bourbon commence à être colonisée. Les premières maisons sont en bois. Elles étaient faites de feuilles de lataniers et de troncs. Il faut attendre le café en 1715 pour construire des bâtiments en basalte (pierre volcanique). Cent ans plus tard la canne à sucre arrive sur l’île et avec elle plus de prospérité.         

La maison Adam de Villiers

C’est la maison la plus ancienne de Saint Pierre. Du bardeau a été utilisé pour recouvrir le toit. On remarque 2 épis, ils permettent de faire la jonction de 3 pans de toit et d’évacuer plus facilement l’eau. Le toit est à la française, il a 4 pans.

La maison Vasseur

Il s’agit de la maison du sous- préfet et elle ressemble à la maison Adam de Villiers, elle est faite en basalte et a été construite en 1790. On y trouvre un beau jardin.

C’est avec les bourgeois réfugiés de la Révolution française qu’arrive la vague néoclassique, qui est un style architectural faisant penser aux temples antiques (grec, romain).   

Les maisons néoclassiques ont deux étages et une varangue qui permet de faire la transition entre l’intérieur et l’extérieur.  La maison néo-classique bleue est celle du sous préfet des  TAAF.

La Maison Motais-de-Narbonne

Elle a été construite en 1820, c’est une maison au style néoclassique, avec 2 varangues. Elle est construite en basalte et en moellon. On trouve des colonnes en bois et en brique ainsi que des persiennes. La clôture est en fer forgé pour que l’on puisse voir à travers et admirer la maison.

La maison Charles Chopi

Elle possédait un style néoclassique. Elle s’est effondrée il a environ un an. La clôture est en fer forgé.

Avant on y trouvait l’école St-Charles.

Le style Maniériste apparaît au 19ème siècle, ainsi de nouveaux éléments apparaissent : des baguettes, des sculptures, le lambrequin, les dentelles de bois et le getali qui est un kiosque situé à l’arrière du jardin.

La maison Frappier de Mont-Benoit

C’est une maison au style maniériste avec une double varangue. On y voit 3 courbes appelées angles de paniers. A l’arrière on trouve la cuisine (pour se protéger de la fumée), les écuries, et un jardin pour cultiver (citron vert). Il y a un jardin d’apparat  et une clôture à claire-voie. Le toit est à la française avec 4 pans et deux épis.

Les cases Tomy vont révolutionner les habitats, elles apparaissent en 1962, sollicitées par le crédit agricole qui accorde les premiers crédits. Ces cases sont solides et peu coûteuses elles résistent au cyclone Jenny en1963. La peinture fait également son apparition dans les cases Tomy.

AUJOURD’HUI TOUTES LES CASES CREOLES FONT PARTIES DE NOTRE PATRIMOINE.

Pablo, Zéna et Siméon, 4° Pythagore

La classe orchestre

orchestre

La classe orchestre est une classe avec plus de cours de musique que dans les autres classes. Chaque élève joue d’un instrument. Dans notre classe c’est : le violon, le violoncelle ou l’alto. C’est l’unique classe comme ça au collège. Cette classe restera avec les mêmes élèves de la 6ème à la 3ème.
En arrivant les élèves ne savaient pas jouer d’un instrument de musique et ils apprennent pendant tout le collège.
Notre classe s’appelle la 5ème Ménuhin. Yehudi Menuhin c’est un très grand violoniste du XXème siècle.
Tous les vendredis matin des professeurs du conservatoire viennent nous donner des cours. Pour les violoncellistes c’est madame Aline, les violons c’est madame Laura et les alto c’est madame Marlière.

Dans notre classe, quand quelq’un ne sait pas quelque chose ou est absent, on l’aide. On est solidaire.

Notre classe a des parrains. C’est des musiciens qui jouent ensemble, comme nous, des instruments à cordes. Ils s’appellent Niels, Kahina, Eva et Marc-André.

On a pas été obligé d’acheter nos instruments. On nous les a prêtés pour tout le collège.

Cette année ,on a participé à une rencontre à Saint Denis. On va jouer avec d’autres élèves d’une classe orchestre. On a aussi joué pour les rencontres académiques à Saint Benoit.

article écrit par Tony Lauret, Anna Domengé, Eloise Bassonville, et Teddy Turpin